Enfin percevoir les violances
derrière le rideau des agressions
Dans cette réalité multiforme
que je décris comme
violance, le besoin de détruire ou simplement de faire mal est
accessoire quand il n'est pas tout simplement absent. Plus subtile, plus
complexe que l'agression, la violance est encore trop méconnue
dans sa réalité comme dans ses effets. C'est pourquoi je
lui consacrerai une place importante dans mon site, de même qu'il
occupait une place majeure dans mon premier essai paru en 2002 aux éditions
Dissonances, un livre (difficile à trouver en librairie) que
vous pouvez aussi télécharger
(gratuitement)
en cliquant sur le titre.
Longuement
subir, puis détruire (PDF 950ko)
Certaines modalités particulièrement
choquantes de la violance ont fait l'objet d'études intéressantes
(voir par exemple le livre de M-F HIRIGOYEN sur le harcèlement).
Mais la violance – à ma
connaissance – n'a jamais fait l'objet d'études systématiques,
et pour cause, puisque le terme même n'existait pas. Si vous êtes
intéressé(e) par les raisons qui m'ont conduit à créer
un homonyme pour un terme qu'on avait habilement dévoyé,
vous trouverez une première approche dans :
De
la violance des dominants aux violences des dominés (PDF 75ko)
Pour ne pas trop vous charger, vous pouvez choisir dans "Longuement
subir puis détruire" un
fragment dont le sujet vous intéresse davantage. Il vous
suffit d'ouvrir Le
texte complet du livre avec hyperliens et de cliquer dans
le Sommaire sur la ligne qui vous intéresse, par exemple
:
• Analyse d'une violance
• Violances symboliques dans l'école
• Violances symboliques dans la famille
• Violances symboliques dans le religieux
• Violances symboliques dans les rituels et traditions
• Le pouvoir de violance symbolique